EXPOSITION : BAM Gallery – Tour de Défense

EXPOSITION : BAM Gallery – Tour de Défense

EXPOSITION : BAM Gallery – Tour de Défense

Du 19 juin au 04 juillet, venez découvrir une nouvelle exposition à la Tour de Défense.

👉 Découvrez l’immense talent d’au moins 7 artistes.
 
👉 En raison des mesures sanitaires, la visite de l’exposition se fera dans le respect des règles en vigueur (masque, gel, etc.).

Exposition à la Tour de Défense

BAM Gallery
TOUR DE DÉFENSE
Du 19 juin au 04 juillet 2021.

Exposition réunissant les artistes :

  • Eric Marsiam
  • André Bielen
  • Yohan Plu
  • Maurice Douard
  • Muriel Averos
  • Jean-Luc Lopez
  • Milburn Foster

Horaires d’ouverture : 

  • du samedi 19 juin au 27 juin (sauf 20/06 fermé) : 14h > 19h
  • du 28 juin au 04 juillet : 10h30 > 19h

 

Entrée gratuite

 


Présentation des artistes

 

Eric Marsiam

Après des études aux Beaux-Arts de Toulouse (atelier du peintre Daniel Schintone) et à l’École nationale supérieure de Paris (diplômé), il fréquente l’Académie de la Grande Chaumière, rencontre les frères Bram et Geer van Velde, et fait également la connaissance de leur ami, Stanley William Hayter, de l’Atelier 17, à Paris.

Au sein de cet Atelier, il obtient le diplôme national de gravure, après cinq ans de collaboration. En 1966, il obtient le Grand Prix national Signatures, qui lui ouvre les portes de nombreuses expositions de prestige.

Ex-professeur de dessin à l’Éducation Nationale, Eric Marsiam se consacre à la peinture, tout en exerçant le métier de décorateur de théâtre, notamment aux côtés de Jean Anouilh et d’Henry de Montherlant, avec le Grenier de Toulouse et l’Opéra de Paris, les Galas Karsenty et le théâtre Hubert.

Ses travaux avec l’Atelier 17 s’inscrivent dans l’abstraction en gravure.

La « méthode Hayter » se caractérise par un processus d’impression simultanée des couleurs, qui combine gravures en creux et relief afin de lier fond et forme. Il s’en dégage un jeu sur les transparences, les résonances de tons et les matières. De ce fait, Eric Marsiam véhicule dans ses œuvres une grande qualité de perméabilité.

La technique de la goutte en trompe-l’œil, résultat d’une réserve en gravure sur des plaques de cuivre avec de l’alcool et du pétrole, entre autres, impulse le caractère poétique, voire symbolique, émanant des œuvres d’Eric Marsiam.

À son arrivée dans les Pyrénées-Orientales, il découvre le liège et, fasciné par cette écorce, va s’exprimer dans des recherches en « peau de liège », qu’il qualifie comme sa « récréation artistique » en dehors de sa peinture.

De nombreuses expositions suivront : Espagne, Pyrénées-Orientales, Revel, Bordeaux, …

En 2009, année de l’environnement, il est invité par la municipalité d’Argelès-sur-Mer, pour présenter des monolithes en liège de 3 à 4 mètres de haut au parc de Valmy, conjointement aux photos de Yann Arthus Bertrand.

De nombreuses œuvres de Marsiam sont présentes au sein de Musées & Institutions Publiques en France (Toulouse, Paris, Bordeaux, Salon-de-Provence, Mont-de-Marsan,…) et dans le monde (Indonésie, Espagne).

 


André Bielen

André Bielen, né en 1956 à Liège (Belgique), nous entraîne dans un univers dont lui seul détient les clés.

Chaque œuvre offre une vision-choc, une facette puissante et toujours différente. Le peintre fait partie de la nouvelle génération du paysage abstrait.

Pour avoir passé tous les filtres des expérimentations picturales, ce créateur, est arrivé aujourd’hui à maturité en restant sur la bonne trajectoire de sa stylistique.

Une évolution dynamique, une persévérance personnelle, et un résultat qui situe aujourd’hui ce peintre parmi les meilleurs dans la famille des artistes du paysage abstractif avec son propre langage, dans le contexte de l’art européen.

André Bielen travaille avec l’huile, comme le faisaient les grands peintres anciens de l’école flamande du XVIe siècle, Bosch ou Brueghel, ce qui donne un velouté, une lumière et une profondeur exceptionnelle à sa peinture.

Ses mondes, aux lisières du fantastique, sont à l’image de notre époque, très colorés, parfois brillants, inondés de lumière et d’ombres, mais également peuplés de versants inquiétants.

André Bielen  expose en Europe et en Asie ( Chine & Hong kong).

 


Yohan Plu

Yohan Plu est né en 1977 à la Roche-sur-Yon en Vendée. Sculpteur passionné et autodidacte, il est aujourd’hui un artiste contemporain en vogue.

L’artisanat d’art est venu à lui, sans crier gare, alors qu’il n’était qu’un enfant. La création, chez lui, est une histoire de famille, un héritage de « savoir-faire ». Dès son plus jeune âge, il travaille les métaux avec son père, alors zingueur sur les toits en Vendée. Depuis cette époque, l’artiste ne cesse de développer un goût prononcé pour le « fait main » et les activités manuelles en tous genres.

En 2010, Yohan Plu part s’installer en Martinique. Plusieurs années durant, il parcourt l’île et se nourrit de sa culture antillaise, qui ne le laisse pas indifférent. De retour en Métropole, il décide de changer radicalement de vie et de se consacrer entièrement à sa passion. Découper, assembler, inventer, souder ; voilà ce qui rythme désormais son quotidien. Véritable passionné, cet autodidacte crée pour s’évader mais aussi pour faire plaisir.

Formé à la soudure « tous métaux », il se spécialise rapidement dans le travail du cuivre, qu’il affectionne particulièrement pour sa légèreté et sa malléabilité. Fort de son expérience, il développe minutieusement à l’abri des regards, son propre style reconnaissable entre tous. Yohan Plu est un véritable précurseur. Il est actuellement le seul artiste à créer des bustes féminins en rondelles de cuivre. Découpées une à une à la main, il sélectionne, assemble et soude chaque rondelle -de diamètres différents- pour donner naissance à des corps de femmes. Cette particularité unique lui permet de mettre sa touche et sa personnalité dans l’univers immense de la sculpture.

Fins, chics, généreux ou encore sensuels, ces bustes sont tous le fruit de son imagination et sont réalisés en quête d’une émotion particulière. L’artiste souhaite rendre hommage à la beauté et à la diversité des corps féminins. Certaines sculptures sont laissées tels quels- brutes- dont la teinte naturelle offre une multitude de nuances et de reflets. D’autres au contraire sont peintes : en rouge, jaune, bleu ou noir. C’est la couleur qui donne spontanément une énergie particulière et du caractère à chaque buste. Aucune sculpture n’a de visage. C’est ainsi qu’il donne un côté universel à ses créations dans lesquelles n’importe quelle femme peut se retrouver. Tout un chacun est donc libre de s’imaginer les traits et les expressions et donc de s’approprier la création. L’artiste travaille plusieurs formats et élabore également des sculptures murales.

Soucieux du détail Yohan Plu crée, toujours à la manière d’un orfèvre, dans une grande harmonie de courbes et de formes. A y regarder de plus près, les corps semblent sculptés dans de la dentelle telles des pièces de haute couture.

La qualité de son travail et son originalité font de Yohan Plu un artiste hors pair.

 


Maurice Douard

Maurice Douard est un artiste peintre né en 1951. En 1971, il est aux Beaux-Arts de Toulouse mais peu à l’aise dans l’institution, c’est seul qu’il continue son chemin. Il est attiré par les recherches de l’école de Varsovie, en chromatologie et psycho-chromatologie.

Maurice DOUARD  est le fondateur de la Difragmentation Figurative : par procédé de déstructuration de l’image, il travaille sur la lumière, les rythmes et dynamiques de la couleur, les effets d’optique. La peinture de Maurice Douard est une quête de l’objectivité.

Maurice Douard a été choisi par la ville de Toulouse pour créer des œuvres originales mais aussi des kakémonos pour la coupe du monde de rugby 2007.

Durant la Coupe du Monde, plus de 300 kakémonos étaient exposés dans la ville aux couleurs de la compétition. Des pavoisements sur mats comme sur les allées Jean Jaurès, des pavoisements sur luminaires, sur les allées, ponts et avenues et sur les places comme celle du Capitole notamment.

 


Muriel Averos

Muriel Averos est une artiste primée basée en France dont les peintures ont été exposées à la fois au niveau national et en Belgique. Les thèmes récurrents de ses œuvres sont les reflets et la pluie, représentés à travers des paysages urbains d’une manière «photographique déformée». En outre, l’expression artistique de Muriel prend également la forme de portraits et d’images animales. Elle crée principalement à l’aide d’huiles sur toile.

 

« Imaginez un sentiment que nous voulons décrire avec des couleurs, au lieu de mots, car les mots ne peuvent pas décrire correctement ce qui se trouve en nous. »

« L’essentiel reste dans le ressenti. Souhaitant surtout partager des émotions, je pratique la peinture à l’huile de façon colorée et instinctive. Les thèmes sont très variés, selon mon inspiration. Je traite de manière plus poussée les reflets depuis trois ans. »

 


Jean-Luc Lopez

La force du mouvement provoquée par la couleur 

Originaire de l’Aude, Jean-Luc Lopez a débuté la peinture à l’huile et l’aquarelle voilà déjà 30 ans, le long du canal du Midi, et continue ses recherches à l’acrylique depuis 19 ans pour donner du mouvement à ses toiles.

Tous les centres d’intérêts d’une vie attentive à son environnement sont autant de toiles qui défilent sur ses couteaux. Un florilège inattendu traité en touches épaisses, vives et juxtaposées des volumes installés sans contours. Seulement des taches de couleurs rescapées d’une décomposition puis recomposition des motifs qui installe une dynamique très surprenante et très réussie.

« J’aime jouer avec la couleur pour surprendre celui qui regarde mes tableaux. », déclare-t-il.

Basé en France, ses peintures ont été exposées à l’échelle nationale. Le thème principal de ses œuvres figuratives est le mouvement, qu’il dépeint avec des couleurs vibrantes et des textures attrayantes et qui prend vie à travers le sport, la musique, la danse, les animaux, les paysages et les abstractions.


Michael Milburn-Foster

Né dans le nord du Pays de Galles en 1943, il a appris le dessin et la peinture dès son plus jeune âge, avec son père, excellent dessinateur et très bon aquarelliste dont il a appris les techniques en grandissant.   

Plus tard, parti étudier dans une école d’art à Londres, il s’est intéressé à la réalisation de films et il a travaillé comme réalisateur pendant près de trente ans.

De tous temps fasciné par l’image en mouvement, en particulier par la figure humaine en mouvement, il a également continué à travailler comme artiste tout au long de son parcours au cinéma. A présent, il se consacre entièrement à sa peinture et à l’essai de créer l’illusion de mouvement dans une image statique.

 

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